• France Inter

    Julien Baldacchino, Oui, toucher des œuvres d’art (et les écouter) peut être relaxant : quand l’art rencontre l’ASMR, France Inter, 13 mars 2021
    www.franceinter.fr

  • Diario di Navarra

    Paloma Dealbert, « Mapamundistas » vuelve con seis muestras, Diario di Navarra, 18 septiembre 2020

  • Art Press

    « Plongée maîtrisée dans l’univers du trolling, l’exposition de Caroline Delieutraz à la galerie 22,48 m² vous donne rendez-vous avec Aurélien et son disque dur. »

    Étienne Hatt, Art Press, 25 septembre 2019
    www.artpress.com

  • Libération

    « A la galerie 22,48 m2 circulent des forces obscures où la méchanceté pure et la perversité ont l’apparence de petits bonshommes d’animation bien peignés. »

    « Autopsie d’un troll », Clémentine Mercier, Libération, mardi 15 octobre.
    www.next.liberation.fr

  • Optical Sound

    « Une information anodine, relayée puis oubliée devient un nœud dans le travail de l’artiste. Elle opère un refus du flux qu’elle transfigure en fiction, en enquête, en dérive. »

    « Sous la carapace du net » par Maxence Alcalde, Optical Sound numéro 6, avril 2019
    www.lespressesdureel.com

  • Monopol Magazine

    « Le fait que l’art et le monde de la mode s’inspirent mutuellement et se chevauchent souvent n’a rien de nouveau. L’artiste Caroline Delieutraz trouve des similitudes entre les œuvres d’art et les baskets. Qu’il s’agisse de coïncidences, d’hommages ou de plagiats – sur son compte Instagram @art_and_sneakers, elle confronte des sneakers à des œuvres d’art. »

    « Une artiste confronte des sneakers à des œuvres d’art » par la rédaction de Monopol
    www.monopol-magazin.de/sneaker-kunst (Allemand)

  • Poptronic’s

    « À l’instar des sept épaisseurs en bois de puzzles superposés de sa tour de Babel, on peut se demander si ces différents langages visuels et leur surabondance concourent à une meilleure compréhension de notre histoire passée et présente ou à l’éclatement de nos repères. Caroline Delieutraz redonne une épaisseur à ces représentations fragmentées et invite à renouer avec le temps du regard. »

    « Le festival Gamerz ouvre les boîtes noires (et nos yeux) » par Sarah Taurinya
    www.poptronics.fr

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